15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 13:34

 

Stephane Guillon à la Salle Poirel (Nancy - 12-13 novembre 2010) : Récit de spectacle

 

Stephane guillon est mort ! Mais non, Stephane Guillon aime surtout se mettre en scène. Ce qui tombe plutôt bien vu son métier. Enfin, son nouveau métier, le précédent ayant été conclu de manière quelque peu abrupte il y a de cela quelques mois. Une excellente aubaine pour son spectacle, comme il aime à la rappeler en préambule. Il ne fait en effet pas bon temps de sortir un humoriste dehors à France Inter, qui continue la valse des cdd. Après Porte et Guillon, ce sont en effet Mezrahi et Dahan (auteur d'une chronique acide sur Michele Alliot-Marie) qui ont eu l'occasion de tester la nouvelle politique de la chaîne publique.

 

 

Photo_St-phane_1.jpg

Photo : DR

 


Mais revenons plutôt au principal licencié. Stephane Guillon donc, présent à Nancy pour le week-end, afin de nous offrir pas moins de 3 représentations en moins de 24h de son nouveau spectacle. Malgré la redite, l'homme entre dans le vif du sujet avec une fougue et une énergie déconcertante. Passé ce premier recadrage vis à vis de ces anciens patrons, Guillon s'attaque à notre président, qui, il faut bien l'avouer, n'en finira pas d'en prendre pour son grade. Et à ce niveau, Guillon reste clairement un maître en la matière, quelque furent les critiques qui ont pu lui être adressées. De l'humour noir aux jeux de mots fracassants, du cynisme à la simple ironie, l'humoriste s'en donne à coeur joie. Et le public, conquis, en redemande. Actuel et actualisé selon l'actualité, son show suit le cours du fleuve politique, parsemé de ses inflations et autres bourdes authentiques. Petit détour par la télé de Guerlain, et son nouveau parfum « Brise d'Hortefeux », afin que le comique, mue en maître des écoles, ne nous propose une vision cauchemardesque de notre futur. Petit retour donc sur les deux quinquennats de Nicolas S., qui marquèrent la fin de la 5ème république. Nous vous laissons imaginer le reste. Effrayant autant l'hilarant.

Mais rassurez vous, son spectacle ne tourne pas que autour de la sphère politique. Non, le social et le culturel font également parti de son quotidien. Et à ces niveaux, il est clair que l'homme est calé. Inventif, ses proses prennent des partis parfois loufoques mais toujours réfléchis. Arpentant la scène sans relâche, chaque mot fait mouche, le public s'indigne faussement et il en rajoute, encore et encore.

 

guillon5.jpg

Photo : DR


Stephane Guillon connait sa réputation, son public – il répétera plusieurs fois à ce sujet bien connaître le Vertigo nancéen – et aime en jouer.

Passé 2h, la voix s'éteint, douce et rassurante, toujours aussi mordante.

Stephane Guillon est bien ancré dans son temps, tiraillant avec justesse erreurs et absurdités, n'épargnant aucune classe, ne s'imposant aucune limite.

 

 

Reportage : Ugo Schimizzi

 

Prochaines dates de tournée :

 

19/11/10 BORDEAUX THÉÂTRE FÉMINA (33)

20/11/10 BORDEAUX THÉÂTRE FÉMINA (33)

21/11/10 BORDEAUX THÉÂTRE FÉMINA – date supplémentaire !

23/11/10 CONFLANS ST HONORINNE TH SIGNORET (78)

24/11/10 NOISY LE GRAND ESP. MICHEL SIMON (93)

26/11/10 TOULOUSE CASINO (31)

27/11/10 TOULOUSE CASINO (31)

 

 

 

DÉCEMBRE

01/12/10 SÈVRES SEL (92)

02/12/10 AULNAY SOUS BOIS ESPACE PRÉVERT (93)

03/12/10 LYON BOURSE DU TRAVAIL (69)

04/12/10 LYON BOURSE DU TRAVAIL (69)

08/12/10 CONFLANS ST HONORINNE TH SIGNORET (78)

10/12/10 RODEZ AMPHITHÉÂTRE (12)

14/12/10 AMIENS AUDITORIUM MÉGACITÉ (80)

15/12/10 ST MICHEL SUR ORGE ESPACE CARNÉ (91)

17/12/10 MARSEILLE ESPACE JULIEN (13)

18/12/10 MARSEILLE ESPACE JULIEN (13)

 

 

À PARTIR DU 13 JANVIER 2011

RETROUVEZ STÉPHANE GUILLON

AU THÉÂTRE DE PARIS !

 

 

Plus d'informations sur Stephane Guillon :

http://www.stephane-guillon.com/

 

 

Plus d'informations sur BSM PRODUCTION :

http://www.bsmproduction.fr/

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2010 6 13 /11 /novembre /2010 11:35

2010-11-relax.jpg La pratique de la méditation, du yoga, de la relaxation, et de la sophrologie ou encore du coaching se développent de façon exponentielle, incarnant un fort courant de prise de conscience quant à l’importance de choisir et d’influencer sa propre façon d’appréhender l’existence  …

 


         La méditation, la relaxation et la visualisation se proposent en effet d’expérimenter les seules réelles libertés dont nous disposons : celle de stopper la pensée, celle de se laisser envahir de sensations choisies et non subies et celle d’interpréter et d’influencer la réalité qui nous entoure … A contrario, les pires des prisons humaines sont celles de nos univers intérieurs et ces trois disciplines engagent chaque personne qui s'en donne les moyens, sur une voie de  libération …

 

         Pratiquer ces disciplines représente ainsi le choix fort et symbolique de se consacrer du temps à soi-même, à son propre bien-être !

         Méditation, relaxation et visualisation expriment les facettes différentes d’une même action, celle de l’esprit sur lui-même et sur le corps …

La  visualisation consiste en une étape de relaxation, suivie de la préparation à un évènement, une réalisation ou un changement précis.

Alors que la méditation ne poursuit pas un objectif précis, la relaxation s’apparente à atteindre l’état opposé au stress dont l’apogée est le très recherché vide absolu où les pensées, voire la notion même  du temps, peuvent s’effacer totalement ! 

Tel le fonctionnement d’un ordinateur, la méditation, la relaxation et la visualisation permettent d’installer, de désinstaller ou de modifier des programmes de notre unité centrale informatique, ce grand ordinateur qu’est au fond notre cerveau !

 

         Comme l’ensemble des exercices liés à ces disciplines, à pratiquer si possible de façon régulière (en priorité au réveil et au coucher), « faire le vide » se résume en un concept très simple à comprendre intellectuellement mais très difficile à atteindre concrètement !

 

         La pratique des disciplines du corps, telles le yoga, le tai-chi, comme celles de l’esprit  - avec entre autres la relaxation et méditation -, sont intimement liées par une complémentarité intrinsèque corps-esprit ; à chacun de tester  les différentes disciplines et enseignants, voire également les enregistrements sur CD, jusqu’à trouver la réponse à ses attentes pour peu qu’elles soient clairement définies…

         La pratique en groupe renforce les effets ressentis par une vibration, une énergie collective faisant « caisse de résonance », mais elle permet aussi dans le cadre d’un cours d’échanger et de s’entraîner afin de pouvoir reproduire régulièrement, chaque jour ou même plusieurs fois par jour, les exercices afin d’en ressentir pleinement les effets bénéfiques…La relaxation peut être comparée à une fonction en sommeil se remettant à fonctionner progressivement comme un muscle atrophié ; voilà pourquoi l’assiduité et la pratique régulière prennent toute leur importance.

 

         Chaque année, la science valide  de plus en plus les bénéfices de la méditation, et les études outre-atlantique se font de plus en plus nombreuses… Les effets de la relaxation et de la méditation rapportés concernent plusieurs pôles de santé tels la diminution du stress (grand facteur de risque dans nombre de pathologies), la diminution du seuil de la douleur, la régulation de la tension artérielle, l’optimisation de l’immunité et de nombreux autres aspects de la santé physique et psychique …..

 

         La vie emmène parfois naturellement vers la pratique de la méditation, par une infinité de chemins, tant le champs des bénéfices et des perspectives de cette pratique semble répondre à une multitude d’attentes légitimes liées à la qualité de vie, au bien-être et à la santé ...

 

         En tant qu’enseignant de la méditation, j’ai moi aussi parcouru ce chemin personnel… « Mon plus ancien souvenir de relaxation, c’est l’image de mon père me faisant de temps à autre une séance avant de m’endormir.  Je pratique la relaxation quotidienne depuis vingt années et la diffuse à travers la préparation aux concours ou encore avec des expériences originales, à la radio ou dans des festivals de poésie, pour faire connaître et donner envie de pratiquer ces techniques….En l’absence de diplômes réellement reconnus (contrairement à la sophrologie par exemple), le choix de l’enseignant est primordial, voilà pourquoi je propose toujours deux ou trois séances d’essai en mentionnant tout de même que les effets sont très progressifs … »

 

         « Dans cet atelier, je propose tout d'abord un échange et une interaction avec l’ensemble des participants permettant de réaliser des exercices ciblés vers une demande particulière tout en demeurant universels ;

En résumé, il s’agit de faire rimer interactivité, individualité, avec universalité en travaillant sur l'une des grandes liberté de l’être humain, celle  d’arrêter la pensée, pour ainsi d’échapper au cycle perpétuel des pensées et des réactions … »

 

         « Dans un cadre associatif, cet atelier propose une vaste diversité de techniques, d’exercices et de découvertes : musicothérapie, méditation créative et poétique, exercices de plein air, introduction à l’épigénétique… »

 

Centré en priorité autour de la visualisation, la méditation, cet atelier se déroule tout les mardis avec différents horaires proposés : 18 heures15 ou 19 heures 15, sur un durée de 45 minutes cette saison 2010-2011, à  Metz centre (Horaires adaptables / individuels sur demande).

 Renseignements et contacts Ici 

Cotisation : 100 € à l’année.

 

 

Envoyé sur www.meltingactu.com par coachmedit

 

Reportage france 2 du JT sur la méditation et de certains de ses aspects scientifiques ci-dessous :

 

Partager cet article
Repost0
12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 00:41

 

Les dernières places disponibles sont à gagner sur meltingactu en cliquant ci-dessous :

 

Stephane Guillon - Salle Poirel à Nancy (12-13 novembre 2010)

Samedi 13 Novembre 2010  à 17 heures Salle Poirel

l’artiste est complet sur à 20 heures sur les Vendredi 12 et Samedi 13 Novembre 2010 ,

Invit. Pour 2  : Clic ICI

 

 2010-11-Guillon.jpg

 



Stéphane Guillon humour "Depuis ses débuts d’humoriste en 1995, Stéphane Guillon a choisi le côté sombre de l’humour, ce qui lui vaut le surnom bien choisi de "Dark Vanneur".

 

 

GAETAN ROUSSEL Mercredi 17 novembre 2010  L'Autre Canal  Nancy

20 H 30      20 - 23 - 26 €

L'Autre Canal, Nancy 45 Boulevard d'Austrasie Nancy, France

Concert-Chanson

La voix rocailleuse de Louise Attaque et Tarmac, Gaëtan Roussel conserve en carrière solo son goût des comptines et des émotions sur la brèche. Le son élargi vers d’autres horizons et contrastes, Gaêtan Roussel fait figure d’éclectique savant et curieux. Une quête d’ampleurs musicales reconnue récemment par Bashung sur le dernier album Bleu Pétrole, Rachid Taha ou encore Delépine et Kervern pour la bande-originale de Louise Michel. . Lien billetterie : Organisateur : NOTICE France

Envoyé par : GUS

 

 

Merce Cunningham Dance Company — Nearly 90²-   Sam 20 nov 2010à 20.00  Arsenal  Metz  NC.

Envoyé par : GUS

 

 

-- Julian Perretta à Metz  Jeudi 25 novembre 2010  Trinitaires – Metz

19:30 / 20 €     Les Trinitaires  10-12 rue des Trinitaires  Metz 57000 - eMail ici - Site Web ici -  Tél. : 03 87 20 03 03   

A 21 ans, le parcours de Julian Perretta est déjà si riche et spectaculaire que l’on est tenu, en vitrine des présentations de son premier album, d’exhiber les trophées les plus voyants. A peine sorti de l’adolescence, ce londonien est ainsi embarqué par le plus grand producteur pop de l’époque, Mark Ronson (Amy Winehouse, Lily Allen…) ….

Envoyé par : Notice France.

 

 

-- SHAKIRA  Dimanche 05 Décembre 2010  Le Galaxie   Amnéville

45.50 €;  à 19h30

SHAKIRA-The Tour of Earthly Delights-

 

 

--ANNULE ! CASCADEUR à Mondorf les Bains (Luxembourg) - le Vendredi 17 Décembre 2010   - Casino 2000 A Mondorf Les Bains .

à 21h30 -   7 €  - Purple Lounge  Casino 2000 Rue Th. Flammang L - 5618 Mondorf-les-Bains - Luxembourg  Réservé aux personnes majeures  tél.: (+352) 23 6 11 – 1 site Web ici    

Cascadeur -

Mais qui se cache donc sous ce casque de pilote de chasse ? Alexandre Longo, pianiste messin, se sent en sécurité derrière ce masque. Ce qui ne l’empêche pas de bien jouer. Avec ses claviers et d’autres instruments plus étranges, Cascadeur parvient, avec douceur, à faire remonter en chacun d’entre nous, nos souvenirs les plus enfouis. En 2008, il décroche le prix CQFD des Inrocks, puis en 2009 après son émouvante prestation au festival des Inrockuptibles, il se voit immédiatement sélectionné pour le Chantier des Francos. Le début d’un grand voyage, qui s’arrêtera au CASINO 2OOO !

 

Partager cet article
Repost0
11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 00:01

 

 

 

Eluveitie + Korpiklaani : Récit de concert

 

Eluveitie et Korpiklaani faisaient cause commune le samedi 30 octobre dernier à la salle du Trabendo de Paris, histoire de donner une coloration toute musicale au week-end consacré à Halloween.

45 minutes d'attentes permirent de rendre joyeusement furibard les quelques 700 spectateurs présents, qui n'apprendront que bien plus tard la suppression pure et simple de la première partie – GodNR.Universe!, side project de membres d'Eluveitie – en raison de l'indisponibilité de leur guitariste, également membre d'Eluveitie.

 

 

  IMGP8794

 


Qu'à cela ne tienne, changement de décor, mise en place des éléments scéniques et voilà que déjà se présente à nos yeux la joyeuse troupe de Korpiklaani.
Ni une ni deux, ils entament un set d'une heure et quart énergique, haut en couleur et rudement carré. Puisant dans la plupart de leurs albums, l'alcool semble signer leur prestation entamant par « Vodka » et achevant durant les rappel par le traditionnel « Beer Beer ». Entre temps, une bonne dose de pagan metal condensé, lourd et mélodique, et surtout beaucoup beaucoup de bonne humeur. Leur frontman dialogue énormément avec le public, en prenant bien en compte l'omniprésence de ce dernier non seulement face à lui mais également sur les côtés et en hauteur.

 

IMGP8671


La foule reprend dès qu'elle le peut les chansons, on danse, on s'égaye, bref on fait la fête.

Viennent pour cloturer le set les éternels « Wooden Pints » et « Happy Little Boozer » après la chanson qu'on ne cite plus (ou plutôt on l'a déjà fait) qui laisseront de ce concert un petit regret. Celui de ne pas pouvoir profiter plus longtemps du spectacle.

 

 

 

 

 

Qu'importe, leurs remplaçants de choix, Eluveitie, nous transportent des contrées suédoises vers leur fief suisse. Lourdement armés de leurs deux charmantes chanteuses, l'une violoniste et l'autre vielliste à roue, c'est face à un public venu visiblement en nombre pour leur show que la troupe se présente.

 

 

IMGP9302

 


Avec 4 albums à leur actif et 1 live au Metalcamp 2008, le groupe ne fait pas encore totalement office de leader dans cette contrée metal, mais tend à se rapprocher des hautes sphères à une vitesse fulgurante. Et ce n'est pas la démonstration de ce soir qui prouvera le contraire.

Puisant dans les différents opus à leur disposition, Eluveitie assure aux spectateurs présent 1h30 d'un spectacle maîtrisé et débordant d'énergie. Subtile, enjoué et visiblement heureux d'être là, les compères rendent une belle copie.

 

 

IMGP8956

 


Slania est l'album le plus représenté de la soirée, sans pour autant délaisser Spirit et le petit dernier Everything Remains As It Never Was.

Histoire de plaider pour une bonne ambiance reconnue, les p'tits gars de Korpiklaani n'hésitèrent pas à faire perdre la tête à la formation suisse, présentant un trio de violonistes armés de cintres et autres objets hétéroclites afin d'accompagner l'une des rares - et non moins belle – ballade du groupe.

 

IMGP8946


Si certains en doutaient encore, Eluveitie confirme être une valeur sûr de la scène Pagan Metal européenne, et son association avec Korpiklaani n'est rien d'autre que deux excellentes raisons de se rendre dans la ville la plus proche de leur prochain passage !

 

Setlist des deux formations :

 

Korpiklaani :

Vodka, Journey Man, Korpiklaani, Cottages and Saunas, Kipumylly, Huppiaan Aare, Pellonpekko, Viima, Juodaan Viinaa  (Hector cover), Paljon on koskessa kiviä, Tuli Kokko, Crows Bring the Spring, Pine Woods, Wooden Pints, Happy Little, Boozer Beer Beer

 

Eluveitie :

Otherworld (Intro), Nil ,Gray Sublime Archon , Bloodstained Ground , Your Gaulish War , Thousandfold , Inis Mona , Slania's Song, Omnos , Isara , Quoth the Raven , Kingdom Come Undone , (do)Minion , AnDro , Tegernako

 

(merci à pavillon666.fr pour les setlist)

 

 

 

 

Récit et crédit photos : Ugo Schimizzi

 

 

 

 

Plus de photos de Korpiklaani :

 

IMGP8615

 

 

 

 

 

IMGP8621

 

 

 

 

 

 

IMGP8624

 

 

 

 

 

IMGP8657

 

 

 

 

 

IMGP8729

 

 

 

 

 

IMGP8749

 

 

 

 

 

 

 

IMGP8802

 

 

 

 

 

 

IMGP8811

 

 

 

 

 

 

Plus de photos de Eluveitie :

 

 

IMGP8882

 

 

 

 

 

 

IMGP9047

 

 

 

 

 

 

 

IMGP9106

 

 

 

 

 

 

IMGP9425

 

 

 

 

 

 

 

 

IMGP9491

 

 

 

 

 

 

 


Partager cet article
Repost0
9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 11:49

20 places valables pour une personne sont à gagner pour le concert de Aldebert le 16 novembre prochain à la Passerelle de Florange en écrivant à ugo.meltingactu@gmail.com et en précisant vos coordonnées.

  MAJ : Toutes les places ont été gagnées !

 

 

ALDEBERT

biographie

 

 

7 juillet 1973, le petit Guillaume Aldebert pousse ses premières vocalises dans une maternité parisienne. Enfance heureuse et épanouie, bercée par les grands auteurs : Brel, Brassens et Gainsbourg. Scolarité relativement buissonnière à Besançon au cours de laquelle il observe, tête en l’air, le quotidien qu’il dépeint aujourd’hui dans ses textes. Plus tard, sa grande carrière de lycéen lui laisse de vastes plages de temps libre, utilisées à brûler les planches des scènes régionales dans diverses formations musicales boutonneuses et militantes.

En 1999, terminant ses études de photographie, Aldebert change d’objectif pour revenir à ses premières amours : la chanson. Fort de sa plume habile et influencé par les auteurs qu’il affectionne, il dresse en 12 titres différents portraits de ses congénères et des aléas qui composent leur vie. L’album “Plateau Télé”sort en octobre 2000. C’est sensiblement à la même période qu’il entraîne avec lui, à la rencontre de son public, une bande de fidèles hommes de mains sur les routes de France et de Navarre, pour environ 300 concerts en un peu plus de quatre ans. Ses prestations seront notamment remarquées en 2000 aux Francofolies de Nendaz (Suisse), à celles de La Rochelle et au Montreux Jazz Festival en 2001, ainsi qu’en première partie d’Hubert Félix Thiéfaine au Bataclan en 2002 et de Tom Novembre à l’Européen en 2003.

Tout au long de l’année 2002, il s’enferme périodiquement avec son petit monde et quelques invités pour se consacrer à son deuxième opus “Sur place ou à emporter”(sorti en mars 2003). Il participe entre-temps à la compilation “Les fils du coupeur de joins”(Epic - Sony Music), avec une interprétation du titre “Guichet 102” de Thiéfaine saluée par la presse musicale. Après Miossec, Lynda Lemay et Jeanne Cherhal (entre autres), Aldebert est le lauréat 2003 du Trophée Radio France de la chanson française. Le titre “Saint’ Nitouche” entre en playlist à l’automne sur le Réseau Francophone Public (Radio-France, Radio Canada, RTBF, RSR). Le bouche à oreille autour d’Aldebert fonctionne : suite à une résidence de trois semaines sur la scène du Zèbre de Belleville en septembre 2003, il s’est produit à guichets fermés à La Cigale en janvier 2004 et a poursuivi son chemin sur scène tout au long de l’année (Festival ‘Alors Chante’, Francofolies, Paris Plage, Festival ‘Quand je pense à Fernande’, etc.). En octobre 2004, Aldebert nous livre “L’année du singe”, l’album de sa trentième année : instantanés, tranches de vie, petits traumatismes et plaisirs simples que sont le quotidien de tout un chacun. Sans empathie mais toujours avec ce ton naïf et frais qui lui est propre, il fait la mise au point sur ses trois décennies passées : accidents de parcours (Des ménagements), fantasmes (La femme de mon pote), hésitations (La norme et la marge), bouleversements (Le bébé) et souvenirs d’enfance (Carpe Diem). Aldebert se fait le reflet d’une génération qui est la sienne : un peu adulte, un peu ado. Le 21 janvier 2005, Aldebert a fait son premier Olympia (complet 3 semaines avant), et après six concerts à L’Européen à guichets fermés fin mai il poursuit sa tournée avec les festivals d’été (Solidays, Francofolies de Spa, etc.). Le CD et le DVD live « Aldebert en scène »sortent en novembre 2005.

 

 

aldebert_jai_10ans-def.jpg

 


En 2006, alors qu'il sillonne toujours les routes de France, Aldebert, observateur contemporain et poétique nous livre « Les paradis disponibles », fruit d'un parcours musical déjà bien avancé. Chagrins entre parenthèses le temps d'un vers léger, métaphores très Brassens ou carrément Trenet, les chansons penchent aussi vers le reggae multicolore, le rock rouge et l'Afrique ocre.

Il y a cinq ans, alors qu'Aldebert était encore animateur dans les écoles primaires, il démarrait l'écriture de chansons destinées au jeune public. En 2008, il se consacre enfin à ce projet et sort l'album « Enfantillages ». L’album met en scène les membres d'une famille, tous plus loufoques et sympathiques les uns que les autres. Au fil des chansons, les personnages comme Super Mamieou Pépette le Chat glouton, vivent des situations aussi diverses que variées et nous entraînent à les suivre dans leurs peurs (du noir…), leurs rebellions (les interdictions dictées par les parents), leurs questions (que font les oiseaux enfermés dans les grands magasins ? comment fait-on les bébés ?), le tout avec un regard amusé et "garnement", Aldebert se mettant le plus souvent à la place des enfants.

Pour fêter les 10 années d’aventures depuis la sortie de son premier album, Aldebert décide de s’entourer de sa section de cuivres et d’artistes de cirque, alors il invite un voisin de Besançon, Bernard Kudlak, directeur artistique & fondateur du Cirque Plume, à créer un spectacle unique alliant musique et cirque. La réponse du metteur en scène est simple : « on y va ! ».

C’est ce spectacle qui sera présenté durant l’automne 2010 et le printemps/été 2011, en passant entre autres par le Zénith de Paris, le Micropolis de Besançon, le Pin Galant de Mérignac,...

 

 

 

 

 

Plus d'informations sur Aldebert :

http://www.aldebert.com/

http://www.myspace.com/aldebertmusique

 

Un concert Notice France :









Plus d'informations sur Notice France :
http://www.myspace.com/noticefrance


Partager cet article
Repost0
9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 11:40

5 places valables pour une personne sont à gagner pour le concert de Julian Perretta le 25 novembre prochain à la Chapelle des Trinitaires en écrivant à ugo.meltingactu@gmail.com et en précisant vos coordonnées.

  MAJ : Toutes les places ont été  gagnées !

"

Julian Perretta

 

A 21 ans, le parcours de Julian Perretta est déjà si riche et spectaculaire que l’on est tenu, en vitrine des présentations de son premier album, d’exhiber les trophées les plus voyants. A peine sorti de l’adolescence, ce londonien est ainsi embarqué par le plus grand producteur pop de l’époque, Mark Ronson (Amy Winehouse, Lily Allen…) pour chanter chaque soir sur scène pendant trente dates européennes un titre originellement interprété par Daniel Merriweather. La chanson s’appelle Stop me, mais dès lors plus rien ne va l’arrêter. Dans la foulée, c’est le célèbre bloggeur américain Perez Hilton, dont la prose vipérine arbitre les vanités hollywoodiennes, qui s’entiche des chansons que Julian a posté sur son Myspace, leur offrant ainsi une caisse de résonance planétaire dont les effets ne tardent pas à se faire sentir. Tous les compteurs s’affolent et des millions de curieux se précipitent en ligne et sur les divers réseaux pour écouter ce prodige dont on ne sait pourtant presque rien. Jusqu’à la déesse Beyoncé en personne, qui invite Julian Perretta sur les premières parties de sa tournée aux Etats-Unis et en Angleterre. Ce grand tour de manège sur les plus hautes cimes du stardom international aurait pu tourner la tête de Julian Perretta et abîmer sa jeunesse en l’exposant trop violemment et trop tôt aux morsures du vedettariat. C’est mal connaître ce garçon, assez lucide et déterminé pour ne pas se laisser aveugler par d’aussi trompeuses étoiles : « J’ai joué devant des centaines de milliers de personnes mais aucune n’était là pour me voir moi. Maintenant je veux tourner dans des petites salles et me constituer un public. Je sais que le plus dur est devant moi. »Certes, mais l’accueil réservé depuis deux ans déjà sur internet à Wonder why, son morceau fétiche et celui qui tourne déjà sur toutes les ondes en prélude à l’album, ouvre à coup sûr sous ses pas des lendemains radieux. A l’image de ce titre, qui rappelle au souvenir des grandes heures de la pop et de la soul des seventies, et notamment à celui de Shuggie Otis, Stitch me up témoigne d’une maturité musicale et d’un éventail d’inspiration assez unique chez un aussi jeune songwriter. Il faut préciser que Julian fut à bonne école avec son père, un fou de musique qui écoutait Led Zeppelin au petit-déjeuner, Eric Clapton en conduisant ses enfants à l’école et Hendrix sur le chemin du retour. Imprégné dès sa plus tendre enfance par ces vibrations ô combien inoubliables, Julian tente dès l’âge de sept ans de percer le secret de certaines chansons. Toujours avec son père, il décortique les classiques des Beatles à la guitare, commence par Blackbird, poursuit avec Back in USSR. A 15 ans, il s’émancipe de la discothèque familiale pour découvrir les artistes de sa génération, chante dans un groupe au lycée des reprises des Strokes et des Killers. Un an plus tard il quitte l’école, assez sûr de ses convictions et des chansons qu’il a commencé à écrire pour tenter la grande aventure dont ce premier album constitue aujourd’hui l’aboutissement. Il aura donc fallu quatre années intenses, durant lesquelles le jeune londonien aura un temps émigré à L.A. – « la pire décision de ma vie » dit-il, aujourd’hui qu’il en est revenu – pour que Julian réalise exactement l’album dont il avait rêvé adolescent, lorsqu’il écoutait les disques de Hall & Oates ou de Bowie. Un album pop moderne traversé par des influences en provenance d’une époque où la musique était encore une respiration vitale et un terrain d’aventure sonore.

 

 

Julian-Perretta---Photo-05.jpg

 

 

La chance de Julian, c’est sa rencontre avec Rob Harris et Matt Johnson tous deux musiciens de Jamiroquai, qui entraîneront dans leur sillage certains des plus fines lames de la pop anglaise contemporaine pour donner vie et relief à ses chansons. Même si Stitch me up, Julian y tient, fut essentiellement façonné dans une chambre et un garage, avec quelques sessions dans les fameux studios Konk de Londres – jadis fief des Kinks -, il possède cette luxuriance unique des productions anglaises qui ont fait la réputation du Royaume, de Elton John à Robbie Williams. Il s’agit là avant tout d’un disque incarné, vivant, avec une mémoire, pas l’un de ces produits pop élevés en batterie (mais sans basse ni guitare ni âme). Il faut ainsi avoir pas mal d’érudition, mais aussi d’aplomb, pour s’attaquer à une falaise telle que Say you don’t mind de Colin Blunstone, l’ex-chanteur des Zombies. Julian reprend également If I ever feel better de Phoenix comme pour relier à travers ces deux citations les époques qui l’auront le plus inspiré : les seventies et les premières heures des années 2000 qui furent celles de son enfance. Mais ce qui impressionne surtout à l’écoute de Stitch me up, ce sont les compositions de Julian, leurs mélodies à la fois sophistiquées et évidentes, leurs arrangements à la fois subtils et spectaculaires, leurs textes qui malgré les mélodies enjoués qui les portent témoignent de certaines fissures personnelles et d’un regard affûté sur le monde et sur les mirages de la célébrité (King for a day). Julian, qui admire comme paroliers Brandon Flowers (The Killers) ou Bernie Taupin (Elton John), entretient une passion sécrète pour les grandes voix veloutées de l’ère du Swing (Sinatra, Mel Tormé), aura voulu son disque comme un organisme où tous les sentiments et toutes les musiques qui ont traversé sa vie jusqu’ici se greffent et se coagulent pour donner corps à des chansons qui lui ressemblent à 100%. Avec Wonder why aux avant-postes et les tout aussi irrésistibles Ride my star, Stitch me up ou Let me love you, les radios et nos mémoires risquent d’en recevoir la visite très longtemps, et personne ne songerait à s’en plaindre."

 

 

 

 

Plus d'informations sur Julian Perretta :

http://www.julianperretta.com/

http://www.myspace.com/julianperrettamusic

 

 

Un concert Notice France :









Plus d'informations sur Notice France :
http://www.myspace.com/noticefrance


Partager cet article
Repost0
8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 19:25

Soan Chez Paulette : Récit de Concert

 

 

Aller voir Soan, toute une aventure.


soan-chez-paulette-1

 

 

Tout d'abord, avant l'artiste, il y a le lieu où il s'est produit, et qui colle pas mal à son univers : Chez Paulette, dans un petit village planqué derrière Toul. On arrive dans la bourgade où les voitures sont légion, les trois quart de leurs propriétaires étant venus pour le concert. Puis, on pousse la porte d'un troquet - bondé - où l'on joue un peu des coudes pour commander sa bière. La tenancière, bien aimable, engage la discussion avec tout le monde, connaît les visages habitués, et encourage les nouveaux à revenir. Chez Paulette, en fait, c'est une des scènes du rock dans lesquelles nombre d'artistes sont venus se produire.

Soan est désormais de ceux-là.

 

soan-chez-paulette-15


Deux larges portes coulissantes s'ouvrent, et l'on passe du troquet à la salle de concert, une salle qu'on ne soupçonne même pas si on ne connaît pas le lieu.

Soan apparaît, tatoué, affublé d'un feutre, de vêtements un peu trop grands pour lui, et une clope à la main, le tout renforçant un peu son personnage de poète maudit qui semble l'habiter à la scène comme dans la vie.

 

soan-chez-paulette-6


Il a emmené la foule dans son univers mélancolique, accompagnant ses musiciens de cette voix qui emprunte tantôt à Jacques Brel, tantôt à Bob Dylan. La performance en est d'autant plus frappante qu'entre deux chansons, c'est un jeune homme, souriant, mais parfois un peu mal à l'aise, que je vois, blaguant d'une fois un peu fluette avec le public.

 

soan-chez-paulette-22


Puis une autre chanson reprend, et son corps se mue en un pantin très expressif, limite théâtral, dont chacune des paroles, chacun des ses vers clamés sans compromis, tirent les ficelles.

Agréablement surpris par cet artiste, je suis curieux de voir quels sentiers Soan compte nous faire découvrir la prochaine fois. Et si c'est Chez Paulette, ce sera avec plaisir.

 

 

Article et Crédit Photos : Jean-Noel Pierre

 

 

 

 

Plus d'informations sur Soan :

 http://www.soan-officiel.fr/

 

 

Un concert Notice France :









Plus d'informations sur Notice France :
http://www.myspace.com/noticefrance

 

 

 

 

 

Plus de photos de Soan Chez Paulette :

 

 

soan-chez-paulette-11

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-16

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-20

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-23

 

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-26

 

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-27

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-8

 

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-9

 

 

 

 

 

 

soan-chez-paulette-2

 

 

 

 

soan-chez-paulette-32

Partager cet article
Repost0
7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 21:43

 

The-Pursuit.JPG

 

Un jeune Anglais au talent monstrueux! Jamie Cullum évoque dans un même phrasé Cole Porter et Rihanna en passant par Aphex Twin. Jamie est un artiste qui surprend constamment son public et dont le talent protéiforme lui permet d’être aussi à l’aise sur une chanson de dance que sur un standard de jazz à la production léchée.

 

C'est au Grand-Duché du Luxembourg, et plus précisément à la Rockhal qu'il présentera son dernier album "The poursuit" le 15 novembre prochain pour votre plus grand plaisir.

 

Toutes les dates de Jamie Cullum, et de la Rockhal sur:

 

http://www.jamiecullum.com/

http://www.rockhal.lu/


Partager cet article
Repost0
1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 15:47
LA PENICHE
LE VENDREDI 05 NOVEMBRE 2010 A PARTIR DE 19H
CONCERT EXCEPTIONNEL DES GIPSY DREAM AVEC JOSE REINHARDT
-----------------------------------------------------------------------------------------
LA PENICHE
LE SAMEDI 06 JUIN 2010 A PARTIR DE 22H
MIX ON THE BOAT AVEC DEEJAY SAM
Coordonnées :

Adresse électronique    la.peniche55@orange.fr

Téléphone fixe    03.29.85.71.74

Adresse    1 Quai de la République
Verdun, France 55100
plus d'informations sur leur page facebook :
Partager cet article
Repost0
1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 12:48

Retour en texte et image sur le concert de Magma à la Maison des Cultures Frontières de Freyming-Merlebach :

 

Magma peut se targuer de se présenter face à un public de spécialistes. Habitués aux frasques de Mr Vander, batteur et membre fondateur de son état, un spectateur avoue même venir pour sa 20ème fois assister à la grande messe kobaïenne.

 

Magma-161010-MCF-04.jpg

 

Et il est certain que tout le monde en eut pour son argent comme pour ses oreilles. Habités, les membres du groupe jouent bien et jouent fort. Les lumières sont aussi explosives que la musique est créative. Fusion des sens.

Les aficionados en redemandent, le groupe ne se fait pas prier pour en remettre une couche.

 

Magma-161010-MCF-03

 

Chrisitan Vander, discret tout autant qu'exubérant derrière sa batterie multiplie les incartades dans un jeu de batterie d'une complexité monstre. Et quand l'envie le prend, il pousse la chansonnette sous les vivas de la foule.

 

 

Magma-161010-MCF-07

 

 

 

 

Crédits Photos : Juliette Delvienne

Texte : Ugo Schimizzi

 

 

plus d'informations sur Magma :

http://www.myspace.com/magmaofficial

 

 

 

Magma-161010-MCF-01

 

 

 

 

 

 

Magma-161010-MCF-02

 

 

 

 

 

 

Magma-161010-MCF-05

 

 

 

Partager cet article
Repost0